Maximilien Sébastien Auguste Foy

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Maximilien Sébastien Auguste Foy
Fonction
Pair de France
-
Biographie
Naissance

Ham
Décès
(à 56 ans)
Compiègne
Ou,Ostende (Drapeau de la Belgique Belgique)
Nom de naissance
Maximilien Sébastien Auguste Arthur Louis Foy
Surnom
« Fernand »
Nationalité
Drapeau de la France France
Activités
Diplomate, homme politiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Famille
Famille FoyVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Fratrie
Tiburce Foy
Maximilien Sébastien Frédéric Foy (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinction

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Maximilien Sébastien Auguste Arthur Louis (dit Fernand) Foy ( à Ham - à Compiègne), 2e comte Foy, fut un diplomate et homme politique français sous la monarchie de Juillet.

Biographie

Augustine Cochet de Saint-Omer, Portrait des trois fils du général Foy contemplant le buste de leur père, 1826. Fernand Foy, l'aîné des fils, apparaît à droite, appuyé au dossier d'une chaise.

Il est le fils de Maximilien Sébastien Foy (1775-1825), général de division (), baron Foy et de l'Empire (), 1er comte Foy et de l'Empire (), et d´Elisabeth Daniels (1790-1868), fille adoptive de Louis Baraguey d'Hilliers. Fort jeune lorsque son père, le Comte Foy, mourut, Fernand se consacra principalement à des œuvres de bienfaisance.

Le , Louis-Philippe Ier le nomma Pair de France. Tout en étant dévoué à la monarchie constitutionnelle, il sut néanmoins garder une certaine indépendance et ne cessa de se montrer partisan des idées libérales.

Après la révolution de 1848, lors de l'élection partielle de l'Assemblée constituante dans le département de la Seine (), pour remplacer MM. Boichot, Considérant, et Rattier, condamnés pour l'affaire du , le comité de la Rue de Poitiers fit choix de MM. Fernand Foy, le général de Lahitte et Bonjean, comme candidats conservateurs à opposer aux trois candidats républicains, MM. Carnot, Vidal et de Flotte. M. Foy fut battu avec 125 643 voix sur 260 198 votants ; le dernier élu de la liste républicaine, M. de Flotte réunit 126 982 voix. Vidal ayant opté pour le Bas-Rhin, une nouvelle élection complémentaire eut lieu le suivant : Foy fut pressenti pour porter à nouveau les couleurs du parti de l'ordre avant d'accepter de se désister en faveur d'Alexandre Leclerc.

Vie familiale

Il épouse, le (Paris), Louise Amable Caroline Albertine Germain de Montforton ( - Paris - Paris Ier), sœur jumelle du 2e comte de Montforton, dont il eut une fille et un fils.

Fonctions

Titres

Distinctions

Hommage, Honneurs, Mentions, ...

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Armoiries

Figure Blasonnement
Armes du comte Foy, pair de France

D'azur, semé d'étoiles d'argent, à la barre du même, brochant sur le tout et chargée de trois tourteaux de sable.[2]

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

Notes et références

  1. « Fernand Foy », sur roglo.eu (consulté le )
  2. Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887
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